Nature Air et Novair, des compagnies aériennes engagées pour le climat
Inspiré d’un article paru sur Voyage YouVox écrit par Valérie Le Boudec et d’un article paru sur MediaGlobal
Dans le secteur du tourisme, les transports et plus particulièrement l’aérien est souvent pointé de doigt quand il s’agit des impacts par rapport au bouleversement climatique.
Alors qu’il représente environ 5% des émissions de gaz à effet de serre (GES), les experts et professionnels du secteur tentent de réduire cet impact en rentrant dans une politique de tourisme responsable. Deux exemples récents nous montrent que les choses évoluent !
Au Costa Rica, la compagnie Nature Air porte bien son nom !
NATURE AIR s’est engagée à limiter ses impacts sur l’environnement au maximum à travers une variété de programmes et d’initiatives innovantes. Ainsi, la compagnie cherchent à neutraliser ses émissions à travers certains programmes de rendement & d’efficacité du carburant, de protection et de conservation des forêts tropicales, de sauvegarde des corridors écologiques ou encore de lobby écologique en faveur des communautés indigènes.
La compagnie est toujours en quête de nouvelles idées pour réduire ses impacts et préserver l’environnement.
En Europe, Novair a testé un éco-atterrissage
A la mi-juin 2009, la compagnie charter exploitée par Kuoni Scandinavie a été la première à tester, avec un Airbus, une nouvelle technique d’approche (curved green approach) à l’aide d’un système de navigation GPS.
Cette nouvelle technique doit permettre de réduire encore la consommation de kérosène, les émissions polluantes et les nuisances sonores.
Ce premier » éco-atterrissage » avec GPS de Novair a été effectué le 16 juin 2009 à l’issue du trajet de Zakynthos, en Grèce, à Stockholm-Arlanda.
Ce test fait partie du projet MINT, lui-même intégré dans le programme SESAR-AIRE. En collaboration avec les compagnies aériennes, les aéroports, les fournisseurs de services de navigation aérienne et les constructeurs, des tests sont menés dans le cadre de ce programme afin de déterminer les avantages écologiques qui peuvent être obtenus grâce à une gestion optimisée du trafic aérien.
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Par Rédaction Voyageons-Autrement
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