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Randonnée sur la Grande Traversée du Jura

| Publié le 17 septembre 2024
Thèmatique :  Conseils   Éco-Hébergement   Espaces protégés   Guides   Itinérance 
             

Il n’y a pas que des traces d’animaux sur le massif du Jura ; des empreintes en forme de pieds, de roues et de raquettes s’égrènent également au fil des mois, rappelant qu’été comme hiver, cyclistes, randonneurs et marcheurs viennent parcourir les creux et les pleins de ces paysages changeants. Alors, pour guider le chaland, des chemins ont été balisés, des itinéraires soigneusement choisis, et c’est ainsi que fuyant les chaleurs de l’été et l’effervescence d’une capitale toute aux JO, nous avons décidé de réaliser la Grande Traversée du Jura (GTJ) en famille, trois semaines de marche entre juillet et août pour découvrir une partie de cette traversée qui file sur 400  kilomètres entre Doubs, Jura et Ain et que la plupart des randonneurs choisissent de commencer à Mandeure, à quelques encablures de Montbéliard...

JURA
GrandeTraverséeDuJura©PhilippePataudCélérier

La boucle des Rousses

Nous n’avons pas commencé à Mandeure mais un peu au-dessous des Rousses, au Chalet de la Frasse, en rattrapant le GR5 et l’épicéa muté qui file sur Lajoux (12 km) par la forêt du Massacre et ses magnifiques prairies parsemées de gentianes. Une première journée de marche sublimée par la combe aux chèvres et son berger, un ariégeois veillant non pas sur des biquettes mais sur des vaches, à préserver du loup. Un lieu magnifique, une ouverture dans la forêt, poursuivie ensuite par des chemins de pâture jusqu’à Lajoux où la Maison du Parc du Haut-Jura permet d’en savoir plus sur la faune et la flore locale, et notamment le grand tétras, cet oiseau forestier, espèce emblématique du Jura que le Parc tente de protéger. Ce jour-là nous avons prolongé notre marche de quelques kilomètres pour dormir aux Brimbelles, chez Isabelle et Christophe, qui ont construit un magnifique chalet où ils accueillent vacanciers et randonneurs dans des chambres sublimes.

JURA
LaCombeauxChèvres©PhilippePataudCélérier

Des Brimbelles aux Tavaillons, il faut compter 21 km et des poussières, quelques kilos de bagages par personne, à chacun son sac, et l’étape des Moussières pour se ravitailler. Dans ce petit village tranquille, la fruitière locale a eu la bonne idée de prévoir des casiers pour palier à ses horaires de fermetures. Une aubaine et l’occasion de gouter le mousseron, une tomme de vache locale au goût fruité qui annonce déjà les notes exotiques que nous concoctera Rachel à la Pesse, au gite des Tavaillons, un régal et une prouesse que réalise cette jeune femme seule aux manettes de son établissement.

Troisième jour, une vingtaine de kilomètres prévus, et un double crochet pour deux variantes. La première, prévue, la deuxième, perdus, puisque nous commençons la journée sur la piste des marcheurs en raquette en nous enfonçant par erreur dans la forêt, ce qui nous vaut une montée hors des sentiers battus mais une arrivée sur un premier aplomb magnifique, le crêt du Nerbier, à 1365 d’altitude et une vue imprenable sur le crêt de Chalam (1540 m), celui-là bien prévu au programme au départ de la Borne au Lion. Une belle grimpette qui, aller-retour, nous offre cette fois une vue panoramique exceptionnelle avec le Mont Blanc pleine face mais aussi la vallée de la Valserine ponctuée du Reculet et du Grand Crêt d’Eau. Que de crêts en ce jour, de quoi avoir le luxe de bouder le crêt de la Neige (1720 m), point culminant du Jura, pour rejoindre Lelex et le gîte du Télémark repris avec brio par Valérie et Marie-Flore qui savent y faire avec les appétits adolescents…

Crêt de Chalam©GClastres

Marcher avec deux adolescents n’a pas que des inconvénients. Certes, ils ont besoin d’une double ration le soir, de leur dose de musique ou d’écran la journée, mais ils ont aussi l’énergie d’avaler les kilomètres et les montées avec une facilité déconcertante au point d’être parfois difficiles à suivre. Or entre Lélex et Mijoux, il n’y a que 17km mais des dénivelés négatifs et positifs en forme de montagnes russes, + 999m et – 895m pour les initiés, matérialisés par trois mamelons à gravir que la vue du Lac de Genève permet heureusement d’adoucir tant le regard se perd dans cette immense étendue bleue que l’on longe depuis la crête du Jura. Ce sera sûrement l’une de nos journées les plus physiques, une marche sous un soleil brûlant, sans ombre, mais avec un chamois au compteur et une pause déjeuner sous la croix du Colomby de Gex. La traversée de la Réserve Naturelle de la Haute Chaîne du Jura se poursuit ensuite par une longue tirée jusqu’à Montrond et la station de la Faucille avec la Suisse toujours à bâbord, enfin la descente sur Mijoux et l’étape à la Michaille, où Orlane dorlote ses randonneurs avant de filer à l’autre bout du monde…. à son tour !

Pause Numi©GClastres

Chalet Gaillard : une parenthèse préservée qui régénère…

Nous reprenons la route depuis les Rousses, après un saut de puce motorisé qui nous permet de redémarrer du bon pied requinqués par une journée de repos. Direction plein nord, un sens inhabituel pour les marcheurs de la GTJ, qui ont plutôt tendance à descendre vers l’Ain la chaine des Alpes dans les yeux. Nous quittons les Rousses par un chemin qui traverse la forêt du Risoux et débouche finalement sur de magnifiques clairières. Aujourd’hui, l’étape est au cœur des bois, dans un refuge qui se mérite et déjà, l’itinéraire semble nous transporter vers des ailleurs. Après Bellefontaine, les lacs et tourbières des Mortes et de Bellefontaine se dessinent et un parfum sauvage d’Ecosse semble imprégner l’ensemble du paysage. Le site est d’ailleurs protégé, estampillé « RAMSAR Tourbières et lacs de la Montagne jurassienne », évoquant ces vastes tourbières mais aussi 18 lacs et de nombreuses espèces protégées telles les bécassines des marais (deux tiers de la population nationale y nichent), le grand brochet, la truite lacustre et l’écrevisse à pattes blanches.

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LesMolunes©PhilippePataudCélérier

Passé le Chalet Mayet, il faut fournir un dernier effort pour « la montée de la mort » dixit la jeunesse, raidillon pierreux qui tranche à l’équerre dans la forêt jusqu’à atteindre la crête du mont Risoux. Le refuge de Chalet Gaillard se situe en contrebas, après 2/3 kilomètres encore, un havre de paix perdu au milieu des arbres, ancienne ferme d’alpage reprise par Hervé et Lydie. Dynamiques et engagés, ces deux anciens éducateurs sportifs privilégient l’accueil à la nuitée pour favoriser le passage, Chalet Gaillard étant situé à la croisée de plusieurs GR dont  le tour de la Haute Bienne. Ils ont aussi fait en sorte d’avoir l’empreinte environnementale la plus faible possible, avec des toilettes sèches, le chauffage au bois, l’électricité solaire, au point que les empreintes les plus prégnantes restent celles des animaux alentours : chamois, renards, sangliers, écureuils et même lynx du Jura !

Une proximité avec la faune et la flore qui attire également le grand tetras (protégé depuis 1992) et nombre d’oiseaux rares, dont l’une des chouettes les plus petites (rarement plus de 27 cm) et les plus rares d’Europe, la chouette de Tengmalm aussi appelée Nyctale de Tengmalm, un rapace nocturne au plumage brun et blanc qui a ses passionnés venus de loin l’observer et la guetter à la nuit tombante ou à l’aube naissante. Ce soir-là, le refuge est presque vide, un couple est passé mais ne restera pas, et nous avons finalement comme seul compagnon Olivier, un photographe naturaliste venu spécifiquement pour traquer la chouette ; mais pas la Telmalm, non, la chevêchette d’Europe, le plus petit rapace nocturne de France (17 cm). Passionné, Olivier nous montre les centaines de clichés des chouettes qu’il a réalisées partout en France et en Europe et dont il compose des tableaux magnifiques.  Il s’esquivera à la nuit tombée pour revenir et repartir à l’aube, ravi d’avoir finalement rencontré le pic tridactyle, une autre de ses quêtes (les 9 pics d’Europe…), un petit oiseau à trois doigts dont la tête est recouverte d’un joli béret jaune. Olivier n’avait jamais vu le pic, c’est chose faite, le voilà « coché » comme on dit dans le jargon des veilleurs de plumes (ou de poils). Un volatile utile et précieux qui se nourrit d’insectes coléoptères xylophages, préservant ainsi les arbres et les écosystèmes !

Lac de Haute Bienne©GClastres

Au fil du Doubs

Après Chalet Gaillard, on retrouve les crêtes du Risoux, de formidables points de la vue sur les lacs de Haute Bienne, quelques bornes frontières qui témoignent que la Suisse est tout près, à l’image des téléphones qui hésitent eux aussi, puis une plongée dans la forêt vers la Chapelle des Bois et le département du Doubs que l’on ne quittera plus. Mais, en ce jour de marche, l’objectif est de rejoindre Chaux Neuve avant d’être totalement déshydraté. Une canicule est annoncée et la chaleur est accablante, les points d’eaux rares, les fontaines souvent « non vérifiées », et les gosiers enflammés. Heureusement, le balai des sapins et des prairies laisse enfin la place à un immense tremplin à ski, la marque de fabrique de Chaux Neuve qui compte quelques champions de renom et le plus grand tremplin d’Europe. Autre point d’attraction, le parc polaire, non loin, mais entre ski et pole, on se sent hors saison, quoi que la coupe du monde de combiné nordique (ski sur roulette) soit annoncé pour la fin du mois… ; tout reste donc possible, même avec 40e à l’ombre !

Tremplin à ski de Chaux Neuve ©GClastres

Une journée de repos plus tard pour échapper à la chaleur et nous voilà repartis pour une toute petite étape qui nous permet de découvrir les sources du Doubs et le village de Mouthe. L’hiver, il peut atteindre des températures glaciales, en témoigne un – 36,7° en 1968 qui lui valut la réputation de « village le plus froid de France ». Et c’est vrai qu’il y gèle souvent, près d’un jour sur deux, mais pas en ce dernier jour de juillet, où nous manquons d’être cueillis par un orage de chaleur. Le lendemain, départ à l’aube pour La Petite Echelle, un chalet d’alpage situé en pleine nature à Rochejean, une nouvelle étape entre forêts et prairies où nous échappons de justesse à un nouvel orage grâce à la buvette des Alpages des Granges Raguin, un abri bienvenu où on peut s’essayer à la trottinette électrique (location !). Une pause pique-nique et un retour de « trottinettiste » trempés plus tard, nous repartons sur un itinéraire bis sous les bons conseils de la propriétaire qui, pour les derniers kilomètres, nous fait troquer les balises rouges et blanches du GR pour les bleus et jaunes des circuits locaux.

La Petite Echelle ©GClastres

Cinq yourtes, un chalet d’alpage, un jardin partagé, un sentier de découverte, des tables en bois prévues pour diner dehors, une yourte accueil avec des jeux en bois et des livres à foison, La Petite Echelle nous plait de suite ; d’autant que juste avant d’arriver, nous avons croisé la patronne en pleine cueillette de plantes et de fleurs. Sans compter que par un heureux hasard, un concert de B-Roy est prévu ce soir-là, l’ancien chanteur de Manu Chao, accordéon en bandoulière, va nous régaler de ses compositions et airs plus célèbres, jusqu’à finir par quelques odes à  Paname jusqu’à Belleville et même Jourdain, étonnante soirée où Paris nous rattrape et fait fuir les orages…

Coni’fer©GClastres

Mais il faut repartir, direction Malbuisson et le lac de Saint Point, quelques 22 kilomètres à avaler en passant le sommet du mont d’Or (une fenêtre sur les Alpes !), la station de Métabief et ses pistes de descente de VTT où mieux vaut suivre les balisages pour ne pas se retrouver sous un deux-roues lancé à pleine vitesse et le lac artificiel de Monrond où  il est interdit de se baigner. A la mi-journée, on rejoint les Hôpitaux-Neufs et le temps de remplir les gourdes chez un cafetier aussi adorable que distrait (un des ados se retrouve avec de la bière en guise de breuvage…), on découvre le Coni’fer, un chemin de fer touristique qui propose une balade insolite et rétro sur une ancienne voie ferrée franco-suisse. Le temps d’écouter siffler puis souffler la locomotive à vapeur, nous repartons à notre tour à l’assaut des derniers kilomètres, pour arriver fourbus mais ravis en vue du lac de Saint Point.

Lac de Saint Point©GClastres

La dernière ligne courbe

Après une journée de pause et de baignade à Malbuisson, nous repartons via la Source Bleue en direction de Pontarlier. À La Cluse-et-Mijoux, le sentier tourne autour du château de Joux et de la distillerie Les Fils d’Emile Pernot. La forteresse dominait alors la Cluse, étroit passage naturel, cette voie militaire et commerciale permettait de traverser le massif du Jura pour rejoindre la Suisse puis l’Italie. Il nous faut ensuite rejoindre la forêt avant de replonger sur Pontarlier, cité de l’absinthe (puis de l’anis) dont l’histoire est contée dans le passionnant musée local. Le lendemain, nous sommes attendus au gite communal des Alliés. L’itinéraire reprend une partie du sentier de la veille, puis oblique en forêt et grimpe jusqu’au Grand Taureau (1323 m), point (de vue) culminant de la Montagne du Larmont. La redescente vers les Alliés est agréable et ensoleillée, nous réalisons que nous n’avons pas croisé un seul commerce ni café sur le chemin. Heureusement, le gite communal nous offre une halte économique et sympathique, avec la possibilité d’acheter un peu d’épicerie de dépannage dans un carton prévu à cet effet. Nous sommes seuls dans notre « petite maison d’un soir », un véritable luxe que nous saurons apprécier.

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Forêt de Pontarlier©PhilippePataudCélérier

Entre les Alliés et Le Chauffaud, il faut compter 26 kilomètres au moins, une grosse étape que nous commençons en longeant un torrent presque à sec, puis une prairie herbue qui débouche sur la Côte du Cerf, deux enjambées encore et nous sommes en Suisse. Malgré la longueur de l’itinéraire, nous réussissons à nous tromper et à poursuivre jusqu’au Saut du Cerf, ce qui nous amène à longer la crête et d’anciennes bornes frontières en pierre jusqu’à un chemin forestier où nous obliquons pour rejoindre le GR, à hauteur des Théverot. Nous traversons ensuite le village des Seignes puis juste à la sortie du village, la Halte, une zone de bivouac et de repos quatre saisons aménagé par l’association des Grandes Traversées du Jura et de l’Espace Nordique Jurassien où nous pouvons pique-niquer. Depuis deux jours, les villages se font rares et notamment les commerces. Heureusement, nous avons encore quelques réserves et ce soir, à l’auberge de la Roche, nous serons en demi-pension. En fin de journée, nous arrivons fourbus mais heureux de découvrir cette vieille auberge logée dans une ancienne ferme de 1777 classée Monument historique. Nos hôtes, Virginie et Patrick, accueillent les randonneurs depuis de longues années autour d’une table gourmande où les langues se délient. C’est ainsi que Virginie nous confie qu’elle a fait partie de l’aventure de la GTJ à ses débuts, un autre temps…

Croisière pour le saut du Doubs©GClastres

Nous n’irons pas jusqu’à Mandeure, le temps nous manque, et c’est donc Villers-Le-Lac qui sera notre dernière étape ; une courte marche qui  nous permet de finir en beauté notre Traversée personnalisée avec une promenade en bateau pour admirer le Saut du Doubs, une cascade de 27 mètres que l’on rejoint en traversant le lac de Chaillexon qui forme la frontière entre la France et la Suisse (Lac des Brenets alors). Dernière soirée également à l’auberge franc-comtoise où Jean-Paul, chef et patron du lieu, taquine un cycliste suisse de passage en lui faisant gouter son incomparable fondue. On se fera forcément entrainer dans la joute, parce qu’il était impossible de conclure ces journées de marche sans honorer le maitre des lieux, véritable fil rouge de fruitière en fruitière, jamais nommé et pourtant si présent, le comté bien sûr. Nous repartirons en voiture en engouffrant les kilomètres à une vitesse que l’on avait oubliée, déjà nostalgiques de ces petits matins où, sac au dos et nez au vent, nous reprenions le chemin et notre itinérance en musardant entre les sapins.

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Saut du Doubs©PhilippePataudCélérier

——————————- Aller plus loin —————-

Pour découvrir et vous organiser sur tout le massif du Jura – N’hésitez pas à consulter le site Montagnes du Jura, qui présente tous les sites naturels, hébergements et activités du territoire.

Pour vous organiser : n’hésitez pas à contacter l’association des Grandes Traversées du Jura pour vous aider à monter votre randonnée ou pour tout renseignement concernant les hébergements, les étapes, les haltes. L’association basée dans le Jura développe les itinéraires (sept au total, en été comme en hiver) et coordonne l’aménagement et l’entretien de ceux-ci. Elle anime et fédère les acteurs de la randonnée des Montagnes du Jura grâce à un réseaux de 180 adhérents et une équipe de quatre salariés.

Grandes Traversées du Jura :  15-17 Grande rue, 39150 Les Planches-en-Montagne
+33 (0)3 84 51 51 51 & info@gtj.asso.fr

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Les Tavaillons©PhilippePataudCélérier

Quelques hébergements coups de cœur :

LES BRIMBELLES

Isabelle et Christophe
Le Manon – Route de Septmoncel – 39310 SEPTMONCEL LES MOLUNES –
06 81 27 21 60 –
https://www.gtj.asso.fr/hebergements-et-restauration/aux-brimbelles/

GITES LES TAVAILLONS

Rachel MAURI
Rue de l’Épicéa 39370 LA PESSE
Email contact@gitelestavaillons.com
Tel 03 84 42 00 65 – 07 82 39 62 28
https://www.gtj.asso.fr/hebergements-et-restauration/gite-les-tavaillons/

GÎTE TELEMARK

Valérie MICHELOT et Marie-Flore CARTIER
943 rue des Monts Jura 01410 Lelex
Email contact@giteletelemark.fr
Tel 06 32 50 83 35
https://www.gtj.asso.fr/hebergements-et-restauration/le-telemark-2/

LA MICHAILLE

Orlane LACROIX 3 chemin de Sousmontoiseau – 01410 LAJOUX-MIJOUX
gitelamichaille@gmail.com
06 37 05 17 03

https://www.gtj.asso.fr/hebergements-et-restauration/la-michaille/

CHALET GAILLARD

Mme BROISSAND et M. LEROY Ad. Forêt du Risoux – 39220 BOIS-D’AMONT Email chaletgaillard@gmail.com Tel 06 85 58 59 09

GITE ETAPE DE CHAUX NEUVE.

Marina et Jean-Pol ANSAY Ad. 9 Grande rue – 25240 CHAUX-NEUVE Email marina.melloni@wanadoo.fr &Tel 06 83 48 97 56Tel 03 81 69 25 75

LA PETITE ÉCHELLE

Chalet d’alpage – 25370 ROCHEJEAN Tél. 06 42 55 88 87

Gite Communal. LES ALLIÉS

Chantal Girardet 8 Rue Isabelle de Neuchâtel – 25300 LES ALLIÉS / Tél. 03 81 46 21 86

Auberge de la Roche 

Virginie et Patrick Bohard Ad. Lieu-dit Le Chauffaud 25130 VILLERS LE LAC Email contact@auberge-surlaroche.com & Tel 03 81 68 08 94

AUBERGE Franc Comtoise

Jean-Paul MARGUET Ad. 55 route des Fins – 25130 VILLERS-LE-LAC Email info@aubergefranc-comtoise.fr Tel 03 81 68 01 85 – 06 08 19 77 22

Sur les crêtes entre France et Suisse©GClastres


Randonnée sur la Grande Traversée du Jura | ©VOYAGEONS AUTREMENT
Par Geneviève Clastres
Auteur et journaliste indépendante spécialisée sur le tourisme durable et le monde chinois, Geneviève Clastres est également interprète et représentante de l'artiste chinois Li Kunwu. Collaborations régulières : Radio France, Voyageons-Autrement.com, Monde Diplomatique, Guide vert Michelin, TV5Monde, etc. Dernier ouvrage "Dix ans de tourisme durable". Conférences et cours réguliers sur le tourisme durable pour de nombreuses universités et écoles.
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Une réponse à Randonnée sur la Grande Traversée du Jura

  1. MH a commenté:

    Super…votre itinérance…et surtout les informations sur les giteS….

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