#TourismeDurable

Le voyage scolaire affirme plus que jamais sa raison d’être avec Envol Espace !

Avec plus de 250 programmes en ligne, des équipes performantes, et une activité centrée 100% sur le scolaire, Envol Espace, situé à Caen, fait figure de pionnier et d’expert avec une agence intégrée au groupe CEI depuis 2013 (Centre d’Echanges Internationaux) qui a fêté ses 40 ans l’an dernier ! Pauline Brionne, sa directrice, y a fait toute sa carrière et a toujours été  persuadée de la raison d’être du voyage scolaire. La coupure du Covid l’a incitée à réfléchir avec ses équipes à de nouveaux développements pour s’engager toujours plus avant vers la RSE et le tourisme durable. Elle nous livre le travail impressionnant accompli depuis cinq ans…

Pauline Brionne©Envol Espace

VA / Des voyages scolaires engagés, chez Envol Espace, cela se traduit comment concrètement ?

Dans les faits, l’ancienne direction a toujours eu une politique sociale, environnementale. On faisait attention à ne pas gaspiller, à recycler les meubles, à ne pas trop jeter. Pour travailler depuis très longtemps à Envol Espace, je suis bien consciente que beaucoup était déjà en place mais on ne le disait pas. Là, on a pris le sujet un peu à l’envers, en constatant que les voyages écoresponsables où l’on tentait d’intégrer tout un panel de visites écoresponsables n’étaient pas vraiment retenus par les établissements scolaires. Ce qu’ils souhaitent, par exemple pour un voyage à Londres, c’est de visiter les principaux monuments quitte à ce que les visites soient un peu différentes. On a donc attaqué les choses dans l’autre sens, soit faire en sorte que tous nos voyages soient écoresponsables et que la conception même de nos produits devienne une éco-conception. Notre chantier prioritaire a donc concerné l’agence pour entrainer ensuite l’équipe, puis nos prestataires, et enfin nos clients et nos programmes.

VA/ Le Covid a-t-il été un moment d’accélération ?

Le Covid a été un élément déclencheur. Notre agence a été arrêtée pendant 18 mois avec une partie de l’équipe en arrêt total. Nous sommes restés un petit groupe de huit pour gérer le quotidien et on a eu envie de profiter de cette période où l’on avait enfin du temps pour initier le changement. On a commencé à dématérialiser nos dossiers, notre comptabilité puis, on s’est demandé ce que l’on pouvait faire pour nos clients, pour notre équipe qui allait revenir après des semaines stressantes, et nous avons décidé de préparer leur retour.  On est donc partis de ces constats et on a eu envie d’aller plus loin, mettre en place des choses concrètes pour notre agence, se questionner. J’ai ainsi fait travailler mes équipes sur la « raison d’être » , pourquoi on travaillait à Envol Espace. Tout le monde s’est pris au jeu et on a réalisé qu’on avait  tous les mêmes valeurs, soit faire découvrir aux élèves une destination, les faire sortir de leur établissement scolaire, de leur département, les pousser à aller voir ailleurs, les encourager à partir parfois pour la première fois sans leur famille ou leur proche. On a alors réalisé qu’on était des professionnels, que l’on aimait notre métier et qu’on avait envie de transmettre cette passion, cette curiosité, qui est devenu un peu notre base line : « Voyager pour apprendre, apprendre en voyageant ».

Chambord. Centre/Val de Loire – Collège Notre Dame (50150 Sourdeval)©Envol Espace

VA/ C’est aussi ce qui vous a poussé à vous engager plus avant dans la RSE ?

En fait, on s’est d’abord adressé à notre comité pédagogique, qui comprend un ensemble d’enseignants qui ont l’habitude de partir avec nous et qui nous aide dans le montage des voyages. On leur a demandé s’ils seraient intéressés par des voyages responsables. Et ils nous ont renvoyé la balle en nous interrogeant sur les actions déjà mises en place au sein de notre agence. Cela a été un révélateur. Si nous souhaitions proposer des voyages écoresponsables, il fallait déjà s’attaquer à la base. On a donc créé un comité de pilotage RSE et on s’est formés en commençant à travailler sur la RSE au sein de l’agence avec l’arrivée d’une alternante en 2e année de master pour nous aider à mettre tous les process en place. Elle a le bagage de sa formation. Elle va nous permettre de mettre à jour notre site, travailler sur la charte, sur les outils, etc.

VA/ Concrètement, comment s’est traduit ce travail de fond sur la RSE ?

Sur l’aspect humain, nous avons réalisé tout un travail sur le bien-être et la qualité de vie au travail, le respect des équipes, la revalorisation des salaires, l’assouplissement du télétravail, la facilitation des horaires de rendez-vous médicaux, le fait d’assurer au mieux à nos salariés l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. On incite aussi aux mobilités douces avec un abri vélo ; à la qualité des moments partagés avec des tables pour manger dehors. On propose des séances de massage ou de la sophrologie pour évacuer le stress dans les périodes chargées. Dans les bureaux, on a privilégié les LED pour l’éclairage, revu le tri des déchets (poubelles dans les bureaux, poubelles de tri à un seul endroit, composteur, etc.). Début septembre, on a ainsi organisé pour notre équipe une matinée de ramassage de déchets sur le littoral et on a le projet de faire la visite d’un centre de tri. On a aussi à cœur d’accueillir des stagiaires pour contribuer à la formation des jeunes dans les métiers du tourisme.

En sus, on s’est intéressé aux parties prenantes. Et donc, depuis 3-4 ans, on demande à nos prestataires, outre leurs prix,  s’ils sont labellisés, s’ils adhèrent à des associations, ce qu’ils mettent en place pour le transport, l’hébergement, mais aussi les activités, les visites. Et on note de plus en plus d’engagement dans toute la chaîne de valeur du tourisme. Enfin, pour que nos clients puissent connaître nos engagements en toute transparence, on a développé depuis juin dernier une nouvelle plateforme – Konect – qui leur permet de recevoir leur devis de façon centralisée mais aussi de découvrir les différents prestataires qui prennent part au voyage et notamment leurs engagements, ce qui est aussi une façon de les sensibiliser.

Royaume-Uni – Collège Sacré-Coeur (85000 La Roche sur Yon)©Envol Espace

VA/  Les établissements scolaires sont-ils sensibles à tous ces efforts ?

Justement, grâce à cette nouvelle plateforme Konect, les enseignants et les  gestionnaires ont plus conscience de nos engagements et de ceux de nos prestataires. En outre, notre comité pédagogique, des enseignants que l’on rencontre trois fois dans l’année, nous permet de réaliser un gros travail pour mieux coller à leur réalité de terrain. On prend donc le temps de les interroger sur leurs problématiques. Par exemple, on a refait il y a quelques années notre carnet de voyage dans un format plus petit pour qu’il entre mieux dans les sacs à dos. Mais les sujets sont très vastes, cela va de l’utilisation du téléphone portable au collège mais aussi donc, sur les temps extra-scolaires, jusqu’aux questions d’inclusions, de bien-être. Suite à l’affaire de Bétharram par exemple, les enfants doivent pouvoir signaler si quelque chose les gêne, la question se pose aussi sur le temps d’un voyage scolaire.

VA/ La politique RSE est donc bien en place à présent ?

Elle est surtout plus visible, plus communiquée. Aujourd’hui, notre comité de pilotage s’est agrandi avec deux nouvelles collègues. Il faut à présent convaincre l’équipe dans son ensemble. Certains sont déjà sensibilisés, ont des jardins potagers, viennent en vélo ; d’autres se sentent moins concernés, n’ont pas le temps… mais les choses bougent. Suite à la sensibilisation faite auprès de nos collaborateurs, cela devient un peu plus « concret ». Et pour faire en sorte que la RSE soit plus comprise et diffusée auprès de nos clients, on a intégré à la fin du bilan de séjour des questions pour voir si les établissements connaissent notre politique.

VA/ Un nouveau pas a été le fait de rejoindre ATR en juin dernier…

Oui, pour aller toujours plus loin et pour nous aider à baliser la suite de notre travail, nous avons décidé d’adhérer à ATR. Quand on fait les choses tout seul, on part dans tous les sens. ATR nous offre un collectif qui nous permet de recadrer nos actions. C’est aussi pour cette raison que nous ne sommes pas entrés seuls mais avec 9 autres membres de L’Office National de Garantie des Séjours Linguistiques et Educatifs  dont je suis secrétaire depuis 2023. On s’est formé pendant deux ans à la RSE avec l’Office, ce qui nous a permis de sensibiliser nos organismes, et c’est aussi ainsi que l’on a rencontré à plusieurs reprises Julien Buot, le directeur d’ATR. Ce que j’ai aimé chez ATR, ce sont les  humains derrière le label. Contrairement à d’autres labels, pour lesquels on ne sait pas qui se trouve derrière les écrans, chez ATR, on se rencontre, on travaille ensemble. J’ai participé au séminaire de 2023 au nom de l’Office et l’assemblée générale, les formations m’ont permis de découvrir les organismes adhérents, de voir tout ce qui était fait. A présent, au sein de l’Office, on a créé le Club ATR et on prévoit de faire notre bilan carbone de façon collective à partir de novembre. Chez Envol Espace, nous souhaitons aussi tendre vers la labellisation Travelife by ATR que notre alternante nous aide à préparer. On espère l’obtenir dans deux ans.

Belgique – Lycée Pierre Mendès France (13741 Vitrolles)©Envol Espace

VA / On n’a pas trop parlé de votre ancrage caennais mais de fait, vous participez à deux actions phares de la région :  Normandie Battle Fields for Peace et Normandie Bas Carbone, pouvez-vous nous en dire plus ?

Dans le cadre de la RSE, parmi les parties prenantes, il y a l’ancrage local. Or pendant 41 ans, Envol Espace a longtemps été refermé sur lui-même. On était connu du monde scolaire mais pas toujours du grand public ni des institutions. Depuis le Covid, nous avons décidé de retravailler notre ancrage local. A présent, la CCI de Caen avec qui nous avons fait des formations nous connaît bien. On s’est aussi rapproché de Normandie Tourisme, dont on partage le stand pendant l’IFTM, ce qui nous permet d’être mieux identifiés des acteurs normands. On s’est aussi rapproché de l’équipe du Mémorial de Caen, du Centre Juno Beach. C’est eux qui sont à l’initiative de Normandie Bas Carbone repris par Normandie Tourisme. Concrètement, cela implique que les visiteurs qui rejoignent un site de visite via des mobilités douces aient une réduction sur leur  tarif d’entrée. On a donc décidé de faire un programme « Bas Carbone » pour nos élèves, avec des activités qui participent au dispositif et une réduction de 200 € pour l’établissement scolaire. On a aussi initié une collaboration avec le Centre Juno Beach (CJB) visant à concevoir des livrets pour sensibiliser nos élèves sur « L’avant – le pendant et l’après voyage ».

Quant à Normandie Battle Fields for Peace que l’on a découvert aux Assises du Tourisme normand, on a décidé d’y participer en lien avec Christine Petit de Normandie Tourisme. Concrètement, il s’agit d’aider financièrement des sites de guerre actuels quand on vient découvrir des sites de la Seconde ou de la Première Guerre mondiale. Or on vend beaucoup la Normandie et les plages du Débarquement. On a donc décidé d’intégrer ce dispositif à tous les programmes qui parlent du Débarquement et de faire le lien avec les élèves. On propose donc aux enseignants de faire des activités (repas, gâteaux…) pour récolter de l’argent qui sera reversé sous forme de dons à Handicap International (via Essentiem) pour aider les populations en guerre aujourd’hui. Nous nous sommes également associés à ces dons en nous engageant à verser 1 500 €, soit 1 € par participant (sur une estimation de 30 groupes par an) venant sur la thématique du débarquement de Normandie. On fera le point en fin d’année scolaire prochaine et nous sommes très fiers de relayer ces deux dispositifs et de travailler ainsi pour le territoire en le mettant en valeur.

VA / Avez-vous le sentiment que toutes ces actions permettent aussi de mieux convaincre côté Éducation nationale sur la nécessité d’agences de voyage scolaire qui s’engagent ?

Je pense que sur ce point, il nous faut mieux mettre en avant tout ce que l’on fait, nos différents engagements, pour que cela apparaisse plus clairement quand on envoie un devis suite à un appel d’offres. Les établissements scolaires pourront alors comparer en connaissance de cause, à même tarif, le travail de fond des agences. Mais cela commence à évoluer. Nous avons reçu récemment un appel d’offres stipulant que l’organisme retenu devait avoir calculé son empreinte carbone. Une autre fois, nous avons noté un critère de performance environnementale, avec des points en fonction du mode de transport (1 point pour l’avion, 3 pour le car, 5 pour le train, etc.). Je pense toutefois qu’il faut encore sensibiliser plus avant les enseignants et j’aimerais que l’on fasse un grand questionnaire à tous nos clients pour avoir leur retour sur ces sujets.  

On a toutefois conscience que la RSE est loin d’être la première préoccupation des enseignants pour qui l’organisation d’un voyage scolaire est une énorme responsabilité, avec toute la lourdeur du côté administratif : papiers d’identité, autorisations de sortie du territoire, allergies, problèmes alimentaires, sécurité, etc. Un voyage responsable ou durable, cela vient après même si cela intègre aussi des réflexions communes, comme l’idée de ne pas retenir des autocaristes avec des cars de plus de dix ans, pour des raisons de sécurité et de pollution, mais aussi l’envie de proposer des hébergements labellisés, qui font du tri. En outre, on se retrouve complètement sur le côté social du voyage scolaire, tout ce que cela apporte aux élèves, les enseignants sont les premiers à dire combien cela transforme les jeunes. Au retour, ils posent un autre regard sur l’enseignant, ont des comportements différents, souvent plus agréables, car ils ont connu leur professeur dans un autre contexte et ont compris que c’était aussi un allié.

Portugal – Lycée Horticole de Grenoble (38330 Saint Ismier)©Envol Espace

VA / Et les élèves justement, comment leur transmettre toutes ces valeurs d’éducation à l’environnement, de développement durable ?

On souhaite bien entendu toucher les élèves et pour cela, on est en train de travailler sur la mise en place d’un livret pour permettre aux enseignants d’avoir des idées d’activités pour réfléchir à pourquoi on part en voyage scolaire. Faire en sorte que les élèves prennent conscience qu’ils vont partir en voyage scolaire et pourquoi, ce que ça va leur apporter, ce qu’ils vont découvrir, qu’ils imaginent ce que ça va être, qu’ils sachent avant de partir ce qu’ils vont découvrir. S’ils viennent en Normandie : c’est quoi la Normandie ?  Avec le prestataire du programme Normandie bas carbone, on les fait travailler sur leur empreinte carbone pendant le voyage. Quelle est l’empreinte carbone d’un voyage en bus ? Et si j’étais parti en train, en avion ?

On souhaite aussi que l’enseignant puisse donner quelques directions en amont du voyage, qui seront mises en pratique  pendant le voyage. Relever des choses qu’ils vont voir (tri des déchets au self, attention à l’eau dans les chambres…), les faire réfléchir à toutes les personnes qu’ils vont rencontrer pendant leur  temps de voyage (les camarades de classe, les enseignants, le chauffeur de car, le guide, le personnel dans les musées… ), qu’ils repèrent ces choses-là et en prennent conscience. Enfin, on s’intéresse aussi au retour, à l’après-voyage, au temps de transmission aux autres élèves qui ne sont pas partis, aux parents. Voyager, c’est aussi transmettre ce que l’on a vu, ce que l’on a découvert, parler de la destination, ses points positifs et ceux plus négatifs.

VA / Sur votre site, vos voyages se déclinent en plusieurs thématiques dont l’environnement. Sur cette thématique précisément, quel serait le voyage particulièrement inspirant que vous auriez envie de mettre en lumière ?

En fait, la thématique environnementale est présente depuis longtemps sur notre site pour signaler aux enseignants d’histoire-géo, de SVT, que nous avons des programmes plus axés sur la découverte du milieu, du territoire. Cela permet qu’ils se repèrent mieux au sein de nos offres mais ils peuvent ensuite composer des programmes mixtes. Mais pour vous répondre, si je retiens un voyage, ce serait la Baie de Somme, un coup de cœur personnel suite au séminaire d’ATR en septembre 2023. J’ai trouvé le site enthousiasmant avec ces immenses plages, les pistes cyclables, le littoral, le côté ornithologique, plein d’oiseaux. Pour les enfants, c’est un vrai terrain de découverte de la faune et de la flore avec de nombreuses activités à faire :  char à voile, pirogue… Une destination simple facilement accessible en train qui possède tous les atouts d’un voyage réussi.

VA / Un dernier projet, une actualité à nous confier ?

Pour nous, l’actualité, c’est notre plateforme Konect lancée cette année, au service des enseignants avec les engagements des fournisseurs, des prestataires, et côté voyage, de nombreux supports pédagogiques à disposition. En outre, depuis un an, on met aussi à disposition des enseignants des tutos vidéo de 3 à 4 minutes pour expliquer comment organiser un voyage scolaire de A à Z : les points administratifs, par quoi je commence, comment j’annonce ça aux parents, comment je lis mes devis, etc. On les trouve sur notre chaîne YouTube et ils permettent vraiment de décomposer toute l’organisation du voyage.


Le voyage scolaire affirme plus que jamais sa raison d’être avec Envol Espace ! | ©VOYAGEONS AUTREMENT
Par Geneviève Clastres
Auteur et journaliste indépendante spécialisée sur le tourisme durable et le monde chinois, Geneviève Clastres est également interprète et représentante de l'artiste chinois Li Kunwu. Collaborations régulières : Radio France, Voyageons-Autrement.com, Monde Diplomatique, Guide vert Michelin, TV5Monde, etc. Dernier ouvrage "Dix ans de tourisme durable". Conférences et cours réguliers sur le tourisme durable pour de nombreuses universités et écoles.
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