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Pacifique Sud Exotique

Tourisme animalier : la mission de Valérie Valton

| Publié le 9 mars 2022
Thèmatique :  Acteur privé   Bons plans   Conseils   Espaces protégés   Portrait 
             

A l’heure où l’attractivité démultipliée des espaces naturels devient une nouvelle menace pour la vie sauvage, Valérie Valton s’est donné pour mission de faire évoluer cette merveille à double tranchant qu’est le tourisme animalier. Son but ? Le rendre plus respectueux et le mettre au service de la préservation des espèces sauvages. Rencontre avec une passionnée qui nous invite à la rejoindre dans cette formidable aventure….

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Valérie et les dauphins…

Voyageons Autrement : Valérie, pouvez-vous vous présenter en quelques mots et nous dire comment vous en êtes arrivé à vous donner pour mission de « transformer le tourisme animalier » ?

Valérie Valton : Diplômée d’une école de commerce, j’ai eu une première vie où j’accompagnais les start-ups à l’international. Puis, il y a une dizaine d’années, j’ai tout arrêté pour me consacrer à ce qui me tenait le plus à cœur : les animaux et le lien Homme-Animal. Leur intelligence et leur sentience, c’est-à-dire leur capacité à ressentir : plaisir, douleur, émotions et souffrances psychiques est considérablement méconnue et sous-estimée alors que la science l’a démontrée et reconnue depuis la fin du XIX° siècle. Résultat : Nous continuons à traiter les animaux tels que Descartes les considérait : des « machines ». Nous les exploitons sans égard et nous regardons les espèces animales sauvages comme la nature se dégrader et s’éteindre sans sourciller. J’ai donc souhaité contribuer à changer le regard communément porté sur les animaux et à œuvrer en faveur de leur bientraitance et de la préservation des espèces sauvages. A partir de 2010, j’ai donc choisi d’explorer les divers possibles en termes de lien entre l’animal et l’humain. Ce sont les animaux sauvages auxquels je voulais m’intéresser en particulier. Je suis partie à la rencontre des mammifères marins aux quatre coins de la planète. Dans plus d’une trentaine de spots de cétacés, j’ai rencontré ces animaux emblématiques, des scientifiques qui les étudiaient ainsi que des personnes qui avaient une grande expérience du contact et des interactions avec eux dans leur milieu naturel. J’ai alors constaté que le tourisme animalier marin (en plein boom) était le plus souvent totalement irrespectueux des animaux. Je me suis dit qu’il fallait agir. Et vite si possible, car les espèces marines font déjà face à nombreuses menaces (pollution sonore et pollution des eaux, collisions avec les navires, pêche accidentelles par les filets dérivants, manque de proie à cause de la surpêche, etc.) alors je me suis dit qu’il fallait tout faire pour que le tourisme ne soit plus sur la liste pour éviter l’hécatombe. J’ai alors repris des études en éthologie pour ce faire.

VA : Les conditions dans lesquelles s’opèrent ces rencontres entre animaux et voyageurs ne sont pas bonnes ?

Valérie Valton

VV : Comme je l’ai dit, alors même que la sentience, la sensibilité des animaux est scientifiquement démontrée depuis la fin de XIX° siècle, nous continuons de les traiter comme s’il n’en était rien, comme si les animaux ne ressentaient rien. Les pires horreurs sont ainsi commises, y compris en matière de tourisme : éléphants, dauphins, quelle que soit l’espèce évoquée, l’appât du gain prime définitivement sur le respect. Le tourisme animalier marin est à l’image du rapport tout entier de la société avec les animaux : qu’importe les dégâts tant que l’on a ce que l’on veut : les voir et nager avec ! Mais pas seulement, nous voulons les voir et nager avec en une seule excursion, et que ce soit ….. garanti !!! Sans compter que beaucoup voudraient aussi les toucher, s’accrocher à leur aileron et tutti ! Ce terrible besoin de préhension qu’a l’Humain… Alors, pour cela et l’argent qui en découle, on va kidnapper des bébés orques ou dauphins, quitte à tuer la mère et d’autres membres du clan qui tentent de s’interposer, pour les enfermer à vie en delphinarium, harceler et rabattre des cétacés en mer pour le bon plaisir de visiteurs avides de nager avec, créer même de faux sanctuaires et orphelinats de lions, tigres ou autre, pour attirer les touristes qui souhaitent les câliner, faire une photo avec et leur soutirer de l’argent. Enchainer des éléphants à un arbre avec une nacelle sur le dos jour et nuit, pour être toujours prêt à gagner de l’argent si un touriste passe par là, qu’importe si c’est une vie miséreuse pour l’éléphant, etc. La liste est sans fin. Même s’il existe une prise de conscience naissante parmi les voyageurs à ce propos, elle se limite pour l’instant seulement à quelques milliers d’individus, la grande masse des touristes au niveau mondial ignorent complètement cela et continue de vouloir absolument voir des éléphants faire un spectacle ou monter à 6 ou 8 sur leur dos (à quel prix !) ou cajoler ces lionceaux tellement choux (mais pris à leur mère et qui finiront ensuite dans une chasse aux trophées). La première chose à faire est donc d’informer et de sensibiliser le grand public. Leur offrir aussi de quoi s’aiguiller plus facilement dans le monde obscur des voyages animalier. Et enfin, d’agir aussi du côté des autorités qui sont censées encadrer ce type de tourisme.

VA : Quelles structures avez-vous alors créé et dans quel but ?

VV : J’ai créé Dolphinesse pour m’adresser aux voyageurs, les sensibiliser sur l’impact du tourisme animalier, les informer et les aiguiller vers des rencontres animalières plus responsables. Que les gens sachent où aller et avec qui approcher les animaux pour être sûr de le faire dans le respect des animaux. Dolphinesse leur propose donc un ‘portail de l’animalier responsable’ avec ces informations gratuitement à disposition de tous. Nous y proposons aussi une sélection de voyages animaliers ‘écoresponsables’, ie, qui garantit le respect des animaux. Nous proposons également des voyages éco-participatifs dans lesquels ils peuvent contribuer à un projet de préservation tout en profitant pleinement du contact avec les animaux. Parallèlement, j’ai créé l’association Splendeur Nature en vue d’intervenir auprès des autorités gouvernementales pour les inciter, les conseiller et les soutenir dans la mise en place d’une réglementation et de pratiques touristiques qui permettent de garantir la bientraitance des animaux et la bonne préservation des espèces sauvages. Seul le tourisme lié aux mammifères marins est visé par notre association car c’est dans ce domaine que je peux le plus mettre mes compétences à profit. La directrice de recherche scientifique de l’association est aussi spécialisée sur la conservation des cétacés et des océans.

VA : Vous avez donc créé des voyages éco-participatifs destinés au grand public, notamment aux familles…

VV : Une partie des voyages proposés a pris cette forme, oui. Qu’il s’agisse de voyages destinés à soutenir les projets de préservation d’autres ONG ou les nôtres, comme pour notre projet de préservation des dauphins du lagon de Sataya, en Egypte. Un lagon magnifique, avec des eaux peu profondes où, à l’abri des prédateurs, les dauphins viennent en journée pour s’occuper de leurs petits, dormir, se reproduire et socialiser. Un spot merveilleux qui commence malheureusement à être victime de son succès. Nous avons donc mis en place une étude de l’état de santé de ces dauphins qui visent à évaluer la situation et soutenir nos arguments pour convaincre le gouvernement égyptien de mettre en place une législation pour mieux encadrer les opérations touristiques dans ce lagon. L’étude que nous réalisons (à partir de mai 2022), mise en miroir avec celle qui fut effectuée il y a 15 ans (une chance !) nous permettra de nous faire une idée concrète de la situation et l’évolution de ces dauphins sur 15 ans. Et d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Normalement, les baies ou lagons peu profonds représentent une aire sécuritaire pour les dauphins, à l’abri des prédateurs. Les requins ne peuvent pas les y surprendre en jaillissant à pleine vitesse des grandes profondeurs. C’est pourquoi les dauphins qui doivent chasser au large la nuit, viennent la journée dans ce type de lieu pour s’adonner à toutes les activités qui leur demandent une baisse de vigilance (sommeil, reproduction, socialisation, éducation des petits) vu qu’ils y sont à l’abri des prédateurs. Rencontrer les dauphins en journée dans ces lieux peut se faire tant que cela reste respectueux et raisonnable en nombre de visiteurs et en durée pour ne pas empiéter sur leur sommeil ou d’autres activités vitales. Hors à Sataya, il n’existe aucune limitation, que ce soit en termes de nombre de visiteurs, de durée ou de pratiques. Et avec le succès grandissant de ce lagon auprès des visiteurs, cela pourrait assez rapidement impacter la bonne santé des dauphins et leur pérennité (si ce n’est pas déjà fait). Certains disent que si nous les dérangions vraiment, ils partiraient… Mais où ? Vers d’autres baies ou lagons ? Le tourisme est partout sur la côte égyptienne et les bateaux de plongée sous-marine sillonnent chaque jour de lagon en lagon pour explorer leurs splendides barrières de corail. En pleine mer ? Si les dauphins devaient rester en pleine mer, ils ne seraient alors plus à l’abri des prédateurs (ie, des requins) et comme dormir, se reproduire, s’occuper des petits, etc., leur demande une baisse de vigilance, ils devraient alors le faire en étant pleinement exposés au danger. Leurs chances de survivre seraient le cas échéant drastiquement réduites. Les voici donc coincés entre la peste et le choléra. Cette étude de leur état de santé comparé à celle d’il y a 15 ans va nous permettre d’y voir clair sur leur évolution et de préconiser des mesures curatives ou préventives, selon les résultats. La réalisation de cette étude dans le cadre d’une coopération scientifique franco-égyptienne pour la conservation de la biodiversité entre l’association et une ONG égyptienne, soutenu par l’UICN, va aussi nous servir à entamer le dialogue avec le gouvernement égyptien et l’engager à agir. Le grand challenge étant maintenant d’arriver à remplir nos bateaux d’écovoyageurs ! Car c’est uniquement grâce à eux que nous allons pouvoir financer les quatre voyages nécessaires à la collecte de données. Grâce à leur aide sur place aussi, que nous allons réussir à collecter toutes des données, photos et vidéos nécessaires à la réalisation de l’étude.

VA : A quoi ressemblera le voyage, pour les personnes qui vous accompagneront ?

VV : Cela reste de vraies, d’extraordinaires vacances. Nous nous retrouverons chaque fois, lors des 4 départs prévus cette année par Dolphinesse, une vingtaine sur un bateau de 35 m possédant tout le confort nécessaire (cabines double avec salle de bain, de beaux buffets, ambiance conviviale et joyeuse, etc.). Et les voyageurs participeront bien sûr à la collecte des données : comptage des dauphins et de leurs petits, photo et vidéos hors de l’eau et sous l’eau, comptage des bateaux de tourisme, observation des comportements etc., … Toutes ces données une fois analysées (sachant que l’opération sera renouvelée les années suivantes), nous permettront d’obtenir des informations essentielles : taille de la population, évolution, taux de reproduction des femelles, taux de survie des petits, etc. Les voyageurs qui nous accompagnent participeront à une véritable mission scientifique. Et y prendront beaucoup de plaisir ! Sans compter qu’ils auront aussi des moments privilégiés avec les dauphins, des sorties d’exploration palmées de la barrière de corail, du jardin et des pitons de corail qui sont à l’intérieur du lagon, ils pourront voir des tortues, des poissons napoléons, et toute la vie riche et colorée des récifs.

VA : Hors voyages, les défenseurs de la nature peuvent-ils vous rejoindre, vous aider ?…

VV : Nous avons encore très peu de moyens (à part les miens qui s’épuisent !), c’est donc avec joie que nous accueillerions étudiants et thésards, et toutes les bonnes volontés qui souhaitent rejoindre l’association pour nous aider sur le projet ou aider à nous faire connaître. Un appui en termes de communication ou de coopération d’autres associations serait aussi le bienvenu. Nous espérons avoir de plus en plus d’adhésions à l’association et à termes, des subventions ou des fonds autre pour compléter nos besoins pour le projet. Tout le challenge à court terme en tout cas, repose vraiment sur un fil : il faut absolument que nos 4 éco-voyages fassent le plein ! Raison pour laquelle je serai présente aux côtés de la directrice de recherche de l’association au salon de la plongée à Paris en mars ainsi qu’au nouveau salon ‘Terra Scientifica’ sur les voyages nature et sciences participatives, aussi en mars à Paris, avec un stand et des conférences proposées…

VA : Raison pour laquelle également vous faites évoluer le principe même de l’éco-volontariat…

Le lagon de Sataya vu du ciel

VV : Oui, j’ai participé à plusieurs voyages en tant qu’éco-volontaire en direction des animaux. Il s’agit d’une micro-niche de voyageurs qui se développe peu car pour participer à ce type de voyages, il faut être prêt à partir sur de longues périodes et dans des conditions généralement très ‘roots’. J’ai donc créé un nouveau concept de voyages ‘écoparticipatifs’ qui soient avant tout des vacances, fun, pleines d’aventure, de découvertes et d’émotions, mais aussi utiles. Avec nous, ces voyages demeurent donc des vacances, de courte durée, avec leur part de confort et de détente. Et s’adressent au grand public, familles incluses. Qui participeront et aideront vraiment ! C’est également une façon ludique d’amener le grand public au contact de la préservation de la nature. Qui souffre cruellement de manque de moyens. C’est en cela que ce nouveau concept de tourisme écoparticipatif ‘grand public’ nous enthousiasme. Comme il peut intéresser tout un chacun pour ses vacances, la contribution financière qu’il peut apporter pour la préservation de la vie sauvage est considérable. Faire des touristes qui se trouvaient jusque-là plutôt du côté du problème des éléments de la solution peut tout changer. J’y crois foncièrement et c’est pour cette raison que je m’y investis personnellement à 200%.

VA : N’y a-t-il pas moyen de vous appuyer en partie sur de grosses ONG animalières existantes ?

VV : Oui, bien sûr, c’est envisageable et nous allons le faire, mais cela reste assez peu fécond en général. En 2021, 40 084 sont classées ‘menacées’ d’extinction d’après le rapport de l’UICN. Parmi ces espèces, 41% des amphibiens, 13% des oiseaux et 26% des mammifères au niveau mondial. Et les fonds gouvernementaux et internationaux alloués pour tenter de les sauver sont très limités et insuffisants face à l’ampleur du travail à réaliser pour les sauver et éviter que d‘autres espèces ne rejoignent à leur tour cette liste. Nous cherchons tous des fonds, que ce soit les grandes ONGs ou les associations plus petites… Il nous faut donc trouver les moyens et la force ailleurs. Notre idée est de nous adresser directement au grand public et de lui ouvrir grande la porte pour rejoindre nos actions. C’est pourquoi je crois autant au concept innovant des voyages éco-participatifs revus à la sauce « offrez-vous des vacances extraordinaires, et utiles ! Et dans des conditions privilégiées ».

VA : Un mot de l’équipe qui vous entoure ?

VV : (Rires !) On en reparlera dans un an si vous le voulez bien. Pour l’instant, j’ai une stagiaire et c’est tout du côté de Dolphinesse. Du côté de l’association en revanche, une formidable directrice de recherche scientifique nous a récemment rejoints : le Dr Caroline Gastebois. Une chercheuse scientifique qui a beaucoup travaillé sur les mammifères marins et leur préservation à la Réunion, en Bretagne, etc. Elle est donc parfaitement qualifiée diriger les études scientifique liées à nos projets de préservation. J’espère que nous aurons à l’avenir les moyens de lui permettre de nous rejoindre à plein temps. Et que nous accueillerons de plus en plus de forces vives.

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Les dauphins du lagon de Sataya

VA : De quoi n’avons-nous pas parlé qui soit important ?

VV : Défi climatique, virus… on est déjà submergés d’informations déprimantes. Mon message est autre. Et simple : il est encore temps d’agir ! On peut et on va y arriver, ensemble. Et pas forcément en se serrant la ceinture, mais en partant en vacances et en y vivant des moments incroyablement intenses. Sachant qu’il existe pour les problèmes auxquels on s’attaque des solutions où tout le monde ressort gagnant : destinations, opérateurs touristiques, touristes. Ce qui constitue un point essentiel. Alors venez-vous éclater ! Venez rencontrer les animaux dans des conditions rares, au côté de spécialistes. Et quand vous aurez fini de profiter, vous pourrez même vous dire : en plus, je suis réellement utile !… Je ne devrais peut-être pas le dire, mais ce spot en mer Rouge, que j’ai découvert en 2013, est le plus beau qui soit pour découvrir et nager avec les dauphins. Ils sont là à la journée, dans un décor de rêve et une eau à 30° et vous, vous pouvez passer jusqu’à 3h avec eux lorsqu’ils le veulent. Quelque chose d’unique. Quand j’ai découvert le lieu et ses habitants, j’ai connu un véritable cas de conscience. Oui, il fallait que les gens puissent continuer de profiter d’une telle merveille mais non, « ça » ne pouvait pas continuer ainsi. D’ici une poignée d’années, tout allait être gâché par l’avidité humaine. C’est pourquoi j’ai repris des études en éthologie animale à 40 ans et je me suis lancée, sans rien savoir de la manière dont on aborde des autorités ou dont on monte des voyages (j’ai appris). Sans même savoir si je serais capable de faire tout ça. Mais il fallait que j’agisse. La cause est trop importante. Alors je me suis lancée, en éclaireuse. J’espère juste que d’autres suivront…

Pour en savoir sur Valérie : www.dolphinesse.com »


Tourisme animalier : la mission de Valérie Valton | ©VOYAGEONS AUTREMENT
Par Jerome Bourgine
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