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Rencontre avec Jonathan Huffstutler, président de la Fédération France Greeters

| Publié le 17 juillet 2021
Thèmatique :  Acteur associatif   Bons plans   Conseils   Guides 
             

Qu’est ce qu’un Greeters ? C’est un une personne habitant un quartier, une ville, un terroir, qui souhaite faire découvrir bénévolement son environnement avec des visiteurs de passage d’une manière personnalisée, comme il le ferait avec ses amis ou sa famille. Venu des Etats Unis, ce concept de rencontres (souvent des balades), centrées autour de l’échange et du partage est arrivé en France à partir de 2007 avec le développement du tourisme participatif. Président de la Fédération France Greeters, Jonathan Huffstutler nous donne les dernières nouvelles du réseau.

Cinq Greeters posent avec les lettres du mot "Greet" sur une plage de Guérande
Cinq Greeters sur une plage de Guérande ©Office de Tourisme La Baule – Guérande

VA/ Comment devient-on président de France Greeters ?

J’ai 36 ans et j’ai toujours été passionné par le tourisme. Après un BTS et une licence pro dans ce secteur, j’ai passé deux ans en Estonie en service volontaire européen. Cette expérience, riche en rencontres, m’a permis de prendre conscience de l’importance de préserver toute la diversité de nos patrimoines. En Estonie, le plus grand gisement archéologique datant de l’âge de Bronze est encore sous terre. Pour diverses raisons, historiques, mais également par choix il n’a pas été mis à jour. J’ai alors pris la mesure de réalités différentes. Quand, en France, on a déjà défriché une grande partie de nos richesses patrimoniales, dans d’autres pays, tous les sites ne sont pas encore « exploités ». En revanche, l’accent est mis sur d’autres aspects, le patrimoine immatériel y est largement valorisé, il vit encore, il évolue tout en étant déjà préservé. Sur place, j’ai aussi fait du guidage pour des croisiéristes, des bateaux de 3 000 personnes échoués à Tallinn, des tours de ville entre deux escales. En rentrant à Paris, comme j’avais la carte de guide-conférencier, j’ai poursuivi dans une agence en réalisant des excursions à la journée, enchainant parfois quatre visites par jour au Louvre, 150 excursions à Versailles en une année, des escapades quotidiennes au Mont St Michel, aux plages du Débarquement, avec des levers à 5h du matin pour retrouver le bus et des journées de 13-14h. J’ai vu beaucoup de volume, mais peu de qualité dans les échanges humains, les aléas du tourisme de masse. Je me suis dit qu’on était peut-être pas obligé de tout faire ainsi….

VA/ C’est donc ainsi qu’est né votre intérêt pour d’autres formes de tourisme ?

Mon premier contact avec le tourisme durable s’est fait dès 2004 via l’association EchoWay. Elle recensait alors des initiatives de tourisme responsable sur son portail. Lors de nos réunions de travail, j’ai réalisé que le tourisme durable n’était souvent associé qu’à des projets à l’étranger. J’étais partant pour recenser des expériences en France mais on avait très peu d’informations alors. Puis, au fur et à mesure que j’enchainais les expériences professionnelles, à l’accueil du château de Versailles, au Muséum National d’Histoire Naturelle puis au sein d’un TO organisant des classes de découverte, j’ai entendu parler des Greeters de Paris. J’avais besoin de me reconnecter avec de « vrais » humains et, sur mon temps libre, j’ai commencé en proposant quelques balades. J’ai retrouvé le plaisir de la rencontre, comme si je voyageais tout en restant à deux pas de chez moi. En 2015, je me suis rapproché du bureau de « Parisien d’un jour » (association qui représente les Greeters à Paris) en devenant administrateur, puis, peu de temps après sa création je me suis investi auprès de la Fédération France Greeters. Je succède à présent Christian Ragil à la présidence. Après avoir déménagé, j’ai également monté un petit collectif d’habitants dans ma commune, à Rueil-Malmaison dans les Hauts de Seine.

Un Greeter montre du doigt un arbre aux trois touristes
Un Greeter accompagne trois touristes à Rueil-Malmaison © Jonathan Huffstutler

VA/ Sous quelle forme sont organisés les Greeters en France ?

Les Greeters sont présents en France depuis 2007 environ. A partir de 2010, les réseaux greeters de France ont commencé à se rassembler chaque année et ont finalement donné naissance à une Fédération France Greeters, animée par un comité de pilotage de six à sept personnes. Ses membres sont divisés en deux collèges : un collège associatif composé de groupes d’habitants qui s’organisent pour accueillir et proposer des balades, et un collège d’institutionnels où les Greeters sont portés par des Comités départementaux du tourisme (CDT), des offices de tourisme (OT), communautés d’agglomérations, etc. Ces derniers animent leur réseau d’habitants bénévole et offrent une visibilité à cette autre forme d’accueil. En France, les deux tiers des réseaux Greeters sont portés par des réseaux institutionnels, qui ont compris l’enjeu d’impliquer leurs habitants dans leurs stratégies touristiques. En tout, nous comptons soixante membres représentant plus d’une centaine de destinations. Par exemple, un réseau Greeters en Champagne est porté par l’ADT de la Marne, mais représente plusieurs sous-réseaux, dont certains offices de tourisme engagés sur le terrain (Epernay, Sézanne, Reims…)

Ainsi, si l’énergie et la dynamique de l’esprit Greeters vient surtout du monde associatif, des collectifs d’habitants, sa stabilité et sa reconnaissance est portée par beaucoup d’institutionnels. C’est un réseau qui se complète bien et qui intègre des profils très variés, aussi bien amateurs que professionels. On sort des carcans administratifs de territoire, des problématiques économiques locales. On fonctionne avec du bénévolat principalement, mais cet esprit collaboratif, où chacun apporte des compétences et des points de vues différents est vraiment enrichissant !

VA/ Quelles sont les villes les plus actives sur le terrain ?

Par sa taille et par la demande, Paris est historiquement la ville qui accueille le plus de visiteurs, représentée depuis ses débuts par l’association « Parisien d’un jour ». Elle compte 300 à 400 bénévoles en fonction des années, la Covid ayant pas mal perturbé l’activité de nos membres. Le second réseau, institutionnel cette fois, est à Lyon. L’office de tourisme Only Lyon, a participé très tôt à la structuration et au développement du réseau des Greeters en France. Au sein d’Only Lyon Tourisme, les « Lyon city Greeters« , tout comme les communautés d’ambassadeurs et de l’accueil sont rattaché au sein du pôle VISITEZ LYON! au même titre que les guidesconférenciers. Cette proximité et cette complémentarité rend les choses plus claires et évite les frictions car le rôle de chacun est bien déterminé et fonctionne en synergie depuis plus de 10 ans. En effet, l’office de tourisme diversifie son offre (358 balades en 2019), mais n’a aucun intérêt à concurrencer elle-même les nombreuses visites guidées quelle propose (119 000 visiteurs guidés chaque année).

Un Greeter en visite avec trois touristes à La Baule
Un Greeter en visite avec trois touristes à La Baule © France Greeters

VA/ En terme de volume, combien de balades partent avec les Greeters chaque année ?

Si on se base sur une année « normale », soit 2019, sur 10691 demandes de « Greet » (rencontres), 4 962 ont été réalisées impliquant 1500 Greeters et 12159 visiteurs (6 maximum, mais souvent seulement 2 à 3 par balade). Ces chiffres étaient sensiblement les mêmes en 2018. Cela diffère selon les Greeters en zone urbaine ou rurale, mais la moyenne équivaut à une balade tous les deux à trois mois par bénévole, avec 2 à 3 personnes impliquées. Ainsi, on est beaucoup plus sur un levier d’attractivité, de diversification de l’offre, de non-standardisation, et cela y compris hors-saison. De même, nous pouvons intervenir dans des lieux ou le tourisme est peu développé, en zone rurale, dans des banlieues, des villes dortoirs. Nos habitants peuvent être présents sur l’ensemble de la destination, y compris là où « faire du tourisme » ne serait pas une activité rentable car on reste une niche en terme de volume. Enfin, il faut savoir que l’on ne s’adresse pas toujours à des touristes d’ailleurs, ce sont parfois aussi des locaux, comme des nouveaux arrivants par exemple. Cela explique que nos balades soient suivies à 49% par des Français, puis à 25 % des personnes du continent américain dont 18% provenant des USA, 3% en provenance du Pacifique, 2% d’Asiatiques et seulement 0,3% d’Afrique

Un Greeter avec un trois touristes en visite au Havre
Un Greeter avec un trois touristes en visite au Havre © Le Havre Tourisme

VA / Quelles sont les dernières nouvelles ou projets en cours dans le réseau ?

Nous avons profité de 2020 pour sonder notre communauté et établir une feuille de route basée sur trois axes structurants. En premier lieu, nous souhaitons une communauté encore plus soudée, passer plus de temps à nous connaitre, entretenir la convivialité qui nous caractérise, s’appuyer sur nos forces… C’est en créant du lien que nous pensons bénéficier d’un engagement plus fort, pour que nos bénévoles se sentent appartenir à la fois à une communauté locale, mais aussi nationale et internationale.Ensuite, nous souhaitons que le réseau greeters soit le plus ouvert possible, à tout types de visiteurs ainsi qu’à des bénévoles de tous horizons, de toute provenance sociale, qu’elles vivent en milieu rural, des quartiers prioritaires, des personnes en situation de handicap, issues de l’immigration… nous voulons être le vrai visage de la population. Cette ouverture se traduit aussi par des partenariats et des relations avec d’autres acteurs. En cette période de changement de paradigme, il est indispensable de fonctionner en réseau et de s’engager davantage. En ce sens, nous avons rejoint la coopérative des Oiseaux de Passage qui promeut les principes de la Convention de Faro. C’est une affirmation des droits culturels comme droits fondamentaux mais également faire prendre conscience que chaque être humain est porteur d’un patrimoine immatériel, en particulier lorsqu’il l’exprime au sein d’une « communauté patrimoniale ». Nous ne sommes pas simplement là pour proposer des balades gratuites mais bien pour transmettre un savoir-vivre, un savoir être, notre vision subjective de la France, qui vient briser parfois les stéréotypes. Nous avons à coeur de créer du lien avec nos territoires et susciter une relation humaine et personnelle avec celui-ci.  Tout cela vise à être toujours plus engagés sur le volet humain du tourisme durable, cela explique notre soutien à la Feuille de Chou qui correspond bien à l’esprit positif dans lequel nous sommes. 

Notre dernier objectif est de rester performant techniquement. Quand les greeters ont vu le jour en 1992 mettre en relation visiteurs et locaux était vraiment innovant (Tripadvisor a été fondé en 2000, Airbnb en 2008 et ses « expériences » en 2016). En France, le système que nous utilisons actuellement a 12 ans. Nous devons évoluer, le rendre plus agile, penser à des interactions avec d’autres systèmes qui permettraient de participer également à l’attractivité de nos territoires. Nous avons mené une réflexion pour intégrer les habitants dans les systèmes d’information touristiques (SIT) et créer une nouvelle donnée « expérientielle ». Pour l’heure, cette donnée est assez froide même si elle s’enrichit et par selon les régions est déjà très complète. Mais pour tout ce qui est de l’ordre du « story telling » et qui permet réellement de différencier une destination d’une autre, cette donnée est encore peu distribuée. Dans les années à venir, la « data » représentera un véritable enjeu, qui dépasse la présence sur tel ou tel site internet. Les « Smart Destination » existent déjà mais il va falloir penser collectif et trouver sa place au sein d’écosystèmes en « coopétition ». Pour rendre concret cette nouvelle réalité, France Greeters est devenue sociétaire d’Apidae Tourisme (devenue une SCIC en 2020)afin de jouer un rôle de prescripteur, voire d’éclaireur. Un premier exemple devrait voir le jour fin 2021 avec la participation au nouveau service mis en place par Auvergne-Rhône-Alpes Tourisme pour stimuler le tourisme de proximité. 

Deux touristes et un Greeter sont assis sur des marches à Saint-Etienne
Deux touristes se reposent sur des marches à Saint-Etienne avec leur Greeter ®Office de Tourisme Saint Etienne

VA / Un sujet plus sensible, où en êtes-vous de vos discussions avec les guides conférenciers professionnels qui vous reprochent de créer une concurrence déloyale par la gratuité et le fait que vous êtes directement promus par les offices de tourisme.

En premier lieu, il est évident que les Greeters ne proposeront jamais de visites guidées de monuments ou de sites classés (musée, châteaux, etc.) d’une part cela requièrent d’être détenteur d’une carte professionnelle, mais surtout, l’endroit où se déroule la balade n’est que le cadre de la rencontre, un contexte qui permet de mieux comprendre où et comment vivent les locaux. Le patrimoine que l’on vient découvrir… c’est le greeter ! Notre offre, si on la distingue bien, est réellement complémentaire. Comme nous réservons le même accueil à nos visiteurs qu’à nos amis ou notre famille la zone grise, s’il devait y en avoir, ce serait l’église, les éléments du petit patrimoine classés monuments historiques et qui vont se trouver sur le trajet d’une balade. On va le montrer parce que c’est intéressant et qu’il est parfois difficile de les ignorer. On pousse une porte, on jette un oeil à la petite cour classé, un passage, mais ce n’est absolument pas une visite guidée au sens propre du terme. Pour faire un parrallèle, un guide-conférencier (qui est aussi parfois un habitant) peut faire allusion à sa vie personnelle, sans que ça soit la raison principale pour laquelle ses clients ont réservé.

Depuis l’an dernier, on a initié un dialogue avec les fédérations de guides en vue de mieux cohabiter. C’est particulièrement important pour les guides car ils ont été fortement frappés par la crise sanitaire (45% envisageraient même une reconversion). La première rencontre a eu lieu en septembre et s’est poursuivie en octobre puis en décembre, avec une web-conférence réunissant plusieurs associations de guide de toute la France invitées par la Fédération Nationale des Guides interprètes (FNGIC) et 21 réseaux greeters (7 réseaux associatifs et 14 réseaux institutionnels). Par la suite, nous avons pu associer à notre groupe de travail l’Association nationale des guides-conférenciers des Villes et Pays d’art et d’histoire (ANCOVART) et le syndicat national des guides conférenciers (SNG-C).

Notre objectif commun est d’arriver à rédiger ensemble une charte de bonne entente que l’on pourrait encourager nos réseaux à adopter, afin de garantir une meilleure entente entre Greeters et guides conférenciers voire même de susciter des collaborations pour soutenir la profession.

Un groupe en visite s'amuse devant une fontaine à Saint-Etienne
Un groupe devant une fontaine à Saint-Etienne © Office de Tourisme de Saint Etienne

VA / Que vous reprochent les guides conférenciers ?

Le principal reproche, pour lequel nos bénévoles ne peuvent pas grand chose, c’est le fait que les institutionnels fassent la promotion des Greeters. D’après certains, qui perçoivent l’office de tourisme comme héritier des syndicats d’initiatives, cela ne ferait pas partie de leurs attributions. Je mets tout cela au conditionnel, mais leur fonction consisterait au contraire à référencer en premier lieu une offre créatrice de retombées touristiques directes. Mettre en avant un offre non marchande réalisée par des amateurs reviendrait alors à annuler les efforts des professionnels (pour simplifier : chaque visiteur réalisant une balade greeters serait autant qui ne ferait pas une visite guidée). Nous ne sommes bien entendu pas d’accord avec cette vision. Il est vrai cependant que si l’objectif stratégique de la destination n’est pas suffisamment expliqué, un guide qui doit payer une adhésion auprès de son office de tourisme pour bénéficier de plus de visibilité peut avoir du mal à comprendre pourquoi il n’en serait pas de même pour promouvoir des balades avec les greeters. Dans le détail, on se rend compte que les offices de tourisme ne font pas de la promotion gratuite d’une offre extérieure mais bien de leurs propres réseaux, ce qui explique en partie qu’ils leurs réservent une place de choix sur leurs supports. Quant à l’argument d’augmenter « l’accueillance » et l’attractivité du territoire pour le bien de l’ensemble de la destination, ce sont des retombées suffisamment indirectes pour entretenir un débat. Quant aux offices de tourisme, c’est dommage, mais ils ont du mal parfois à bénéficier des effets positifs pour lesquels ils ont choisi d’impliquer leurs habitants, car ils redoutent les disputes en public (réseaux sociaux) et les prises à partie dans les médias qui auraient un effet contreproductif pour l’ensemble de la destination. Notre position est qu’il faut une information claire pour le visiteur. Nous encourageons ceux qui rédigent les descriptifs, sur les brochures et les sites internet à ne pas décrire la rencontre avec un greeters comme ils le feraient pour n’importe qu’elle offre « commerciales ». Nous avons donc proposé depuis janvier 2021 une offre de service à nos membres, pour faire appel à des professionnels de la rédaction de contenus afin de présenter de manière fidèle ce que nous proposons. Parfois il suffit d’une photo ou de quelques mots mal choisis pour susciter une polémique alors que sur place les greeters ne cherchent pas du tout à « jouer au guide ». Il y a tellement de grosses plateformes qui proposent à des particulier de faire vivre des « expériences » souvent même contre un « complément de revenu » que nous sommes assez certains que nos bénévoles, qui donnent de leur temps sans contrepartie et s’impliquent dans la communauté greeters le font pour les bonnes raisons.

Nous continuons donc à dialoguer avec les associations de guides et espérons parvenir une charte de bonne entente pour éviter les amalgames et apaiser ces tensions qui, à mon sens, sont souvent disproportionnées par rapport au nombre de visiteurs que nous accueillons en réalité.


Rencontre avec Jonathan Huffstutler, président de la Fédération France Greeters | ©VOYAGEONS AUTREMENT
Par Geneviève Clastres
Auteur et journaliste indépendante spécialisée sur le tourisme durable et le monde chinois, Geneviève Clastres est également interprète et représentante de l'artiste chinois Li Kunwu. Collaborations régulières : Radio France, Voyageons-Autrement.com, Monde Diplomatique, Guide vert Michelin, TV5Monde, etc. Dernier ouvrage "Dix ans de tourisme durable". Conférences et cours réguliers sur le tourisme durable pour de nombreuses universités et écoles.
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