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Rencontre avec Jean Michel Blanc, l’homme qui taquinait les chiffres !

| Publié le 14 décembre 2023
Thèmatique :  Conseils   Initiative privée   Innovation   Portrait   Projet solidaire 
             

L’activité touristique en France serait à l’origine de 11% des émissions de GES ? Pas tout à fait. Le PIB du tourisme oscille entre 7 et 7,5 % selon les années ? Pas si sûr. Mais qui est cet homme qui défie les chiffres et les échelles que les habitués des réseaux du tourisme ont l’habitude de brandir à chaque grand rendez-vous. Tour à tour, consultant, directeur d’un observatoire régional du Tourisme, acteur du tourisme social, enseignant, prospectiviste, militant engagé dans plusieurs associations de tourisme durable et social, Jean Michel Blanc a multiplié les casquettes et les titres. Une expérience de terrain mêlée à une appétence pour la recherche qui l’amène régulièrement à questionner les évidences, chiffres en tête. Une bonne leçon d’humilité et la démonstration parfaite que tout est relatif, surtout les chiffres !!!

Toujours sur le pont pour créer des liens ©JMBlanc

VA/ Pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs svp ?

Après mes études d’économie, j’ai été consultant tourisme dans le Massif central dans une grande société d’aménagement régional, puis directeur de SPOT Auvergne, un observatoire régional du Tourisme sans contrainte politique. En 2010, j’ai rejoint un acteur majeur des activités sociales, et notamment du tourisme en France, comme directeur en charge du domaine ‘vacances famille, voyages, et colos’ jusqu’en 2018, puis en charge d’une large mission d’analyse prospective [1] de nos sociétés. Par ailleurs, j’interviens en économie touristique à l’IREST [2] Paris 1 Panthéon Sorbonne depuis 2010, où je dirige également chaque année plusieurs mémoires de recherche en Master, souvent orientés vers les problématiques du tourisme social et du tourisme durable. Je suis vice-président bénévole d’AIDA-IREST : L’Association Internationale des Amis de l’IREST établi un pont entre le monde académique et l’univers des professionnels du tourisme. C’est à ce titre que je suis membre bénévole au Conseil d’administration d’ATD (Acteurs du Tourisme Durable).

VA/ Un parcours de terrain mais aussi une propension à observer la réalité et l’évolution du tourisme, chiffres en bandoulière ?

Oui, l’observation du tourisme me semble indispensable. Mon cours devant les étudiants est sous-titré « Observer pour décider ». La statistique doit être au service de la prise de décision, publique ou privée. Dans cette société submergée par l’information, les décisions de toute nature sont trop souvent prises à l’intuition, sans réelle assise rationnelle objectivée. Au regard de l’importance économique, sociale et sociétale, mais aussi environnementale que représente le tourisme, comment peut-on continuer à conduire des politiques publiques ou à orienter des investissements privés sans s’appuyer sur une analyse sérieuse des données qui caractérisent l’activité touristique dans ses différents recoins ?

VA / Lors des derniers Dialogues de l’ATES où vous animiez une table ronde, vous avez annoncé en ouverture de cette dernière que les 11% de GES émis par le tourisme en France (d’après l’ADEME) doivent être reconsidérés. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Ma remarque ne remet absolument pas en cause l’excellent rapport de l’ADEME [3] de juin 2021 qui rend parfaitement compte du bilan des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur du tourisme en France. Mais la plupart des lecteurs ont retenu parmi l’ensemble des résultats, un chiffre qui s’est installé dans les débats et les médias : l’activité touristique en France représente 11% des émissions de GES. En fait, il faut bien comprendre l’importance de chaque mot : Ce sont les émissions du secteur qui ont lieu en France (50 MtCO2e) rapportées à l’inventaire total national (445 MtCO2e) qui représentent 11,1%. Et il faut surtout préciser la méthode de calcul qui se conforme naturellement, et c’est indiscutable, aux normes SECTEN [4] qui permettent de comparer cette donnée aux données internationales dans chaque pays. Ceci signifie, comme c’est clairement précisé dans le rapport, qu’il s’agit du tourisme interne (les Français en France) et réceptif (une partie du trajet réalisée par les voyageurs étrangers sur le territoire), mais, et c’est essentiel d’en avoir conscience, cette donnée ne prend absolument pas en compte le tourisme émissif (le voyage des Français hors de nos frontières). En annexe du rapport, le tourisme émissif est évalué à …37 MtCO2e …. Donc, dans un salon regroupant des opérateurs de voyages et des agences réceptives étrangères, évoquer la part du tourisme en France à hauteur de 11% est … inadapté, puisque 100% de leur activité n’est pas comprise dans cet indicateur.

VA/ Avec une démonstration par l’exemple, cela donnerait ?

Pour illustrer un éventuel paradoxe pouvant naître d’une interprétation erronée, imaginons que demain, on parvienne à convaincre la moitié des Français qui prévoyaient de prendre leurs vacances en Grèce ou en Asie de découvrir la France en famille avec leur voiture (mode de déplacement très largement majoritaire à ce jour). Nous enregistrerions alors une progression significative de la part due au tourisme dans les émissions de GES en France, selon les statistiques indiscutables de la méthode internationale. On pourrait alors passer de 11% à 12, voire 13 ou 14% ou davantage, selon cet indicateur. Et pourtant, dans l’absolu, il est certain que l’activité touristique des Français aura généré sensiblement moins de MtCO2e sur la planète.

VA/ Vous avez également surpris l’auditoire en donnant des chiffres inédits sur le PIB du tourisme en France.

Je dois avouer que j’ai été très surpris de découvrir en fin avril 2023, une publication de l’INSEE qui revisite totalement une information qui circule très largement sur le poids du tourisme dans l’économie nationale. De longue date, grâce aux publications de la Direction Générale des Entreprises, nous avons tous en tête le poids de la consommation touristique intérieure dans le PIB qui oscille entre 7 et 7,5% selon les années. L’INSEE bouleverse ces repères en utilisant une autre approche : pour mesurer le Produit Intérieur Brut (PIB) Touristique, le calcul consiste naturellement à évaluer la valeur ajoutée par le tourisme dans chacun des secteurs d’activité. Ce n’est que depuis avril 2023 qu’on dispose d’une mesure du Produit Intérieur Brut (PIB) Touristique français, grâce à un travail mené par l’INSEE en cohérence avec les concepts et méthodes standardisés sur le plan international depuis 2008. Concrètement, pour l’année 2021, les dépenses des touristes, dites aussi «consommation touristique intérieure», sont estimées à 140 milliards d’euros. En retirant les consommations intermédiaires (*) et les importations de biens et services, on aboutit au PIB direct du tourisme, estimé à 75,7 milliards d’euros, soit 3% du PIB national. Avant Covid, en 2019, le PIB tourisme représentait environ 4,1% du PIB. Voilà de quoi interpeller, surtout en confrontant cette donnée à la donnée évoquée précédemment concernant la part des émissions de gaz à effet de serre en France….

VA / Ce qui revient à relativiser la part du tourisme dans l’économie nationale ?

Rapporter la consommation touristique intérieure au PIB fournit une indication intéressante dans une analyse nationale de l’évolution de ce ratio, et permet d’appréhender ce que représente le tourisme dans l’économie française, mais cela n’est pas suffisant pour évaluer sa part dans la création de richesse totale, et s’avère inadapté pour confronter les résultats de la France à celui d’autres pays appliquant les normes internationales. Sur le blog de l’INSEE, il est ainsi précisé que la France se situe dans la moyenne des pays de l’Union européenne en termes de part de la valeur ajoutée du tourisme dans la valeur ajoutée totale (4,5% pour l’ensemble de l’Union en 2019). Cela illustre une dépendance de l’économie au tourisme bien plus faible en France que dans d’autres pays tels que la Croatie (11,8%), le Portugal (8,1%), l’Espagne (6,9%) ou l’Italie (6,2%). Attention, il est évident que certains de nos territoires, cependant, sont particulièrement dépendants du tourisme, et donc vulnérables à ses évolutions, à la hausse (surfréquentation, …) et à la baisse (disparition à moyen terme des conditions d’enneigement en moyenne montagne, …). Il faut également rappeler le poids très important de l’emploi touristique, direct, indirect et induit, qui nous rappelle que le tourisme joue un rôle structurant dans de nombreux territoires.

VA/ Les chiffres, c’est important, et pourtant on en manque et les observatoires du tourisme et de l’INSEE sont en panne, pourquoi ?

On déplore que le pays qui revendique la place de leader international ne produise plus, depuis 2018, son document de référence, le Mémento du tourisme, qui était jusqu’alors réalisé par la DGE (Direction Générale des Entreprises). Un document très riche, certes imparfait et incomplet, mais qui permettait de disposer d’une photo annuelle de l’économie touristique nationale s’appuyant principalement sur 3 dispositifs majeurs que pilotait alors la DGE : les enquêtes de fréquentation des hébergements collectifs réalisées par l’INSEE, le Suivi des Déplacements Touristiques des Français réalisé par Kantar, et l’enquête auprès des visiteurs venant de l’étranger (EVE) conduit par la DGE et la Banque de France. Il est affligeant de constater l’incroyable difficulté d’accès actuelle aux données statistiques nationales pour les consultants, les universitaires, des professionnels, ….  Les enquêtes ne sont pas en panne, et les dispositifs cités ci-dessus perdurent, mais l’impossibilité d’accéder simplement et gratuitement à l’ensemble des résultats produits par une enquête publique dans un document de synthèse accessible à tous pose question en effet. Il faut préciser que quelques régions, départements, ou territoires infra réalisent de belles avancées dans les outils d’observation des flux en particulier, ou conduisent des travaux sur de nouveaux indicateurs.

VA/ D’après vous, quelles sont aujourd’hui les sources les plus fiables pour trouver des chiffres qui veulent encore dire quelque chose ?

Faut-il rappeler que la DGE a fermé brutalement Veilleinfotourisme.fr il y a quelques années, un site public qui offrait un remarquable accès à toute l’information utile pour tout acteur intéressé au tourisme ? En explorant tous les recoins du site de l’INSEE, on trouve des fragments intéressants, des observatoires régionaux permettent d’accéder à certains éléments, Atout France avance doucement avec France Tourisme Observation, et proposera prochainement de nouveaux indicateurs avec ses partenaires, notamment pour modifier l’appréciation de la performance touristique, sur la base d’indicateurs de durabilité de l’activité en partenariat notamment avec ATD. Mais on attend avec impatience un document national accessible à tout public qui permette d’analyser comment a évolué l’économie touristique nationale depuis … 2018. J’aime alerter les étudiants sur la grande vigilance à avoir dans leurs recherches, face à un déluge d’informations approximatives, d’enquêtes guidées par des commanditaires en recherche de messages promotionnels, aux travaux de cabinets spécialisés en hôtellerie qui produisent d’excellentes analyses sur l’industrie hôtelière mais qui ne représentent cependant pas l’hôtellerie française dans sa diversité, etc… En résumé, nombreuses et dispersées sont les sources de qualité, mais dont chacune ne présente qu’un fragment incomplet et imparfait de l’activité nationale, chaque producteur d’information étant guidé par ses objectifs propres dans le choix des données qu’il partage.

VA/ De l’information à la communication, les chiffres ne sont-ils pas aussi des outils au service des messages que l’on souhaite faire passer ?

La communication de données statistiques est un art que savent utiliser les opérateurs privés qui souhaitent valoriser leurs performances, mais aussi des acteurs publics et politiques qui veulent passer des messages. Aux derniers jours du mois d’août, toute la presse se fait l’écho des communications diverses sur le bilan de saison alors que les données disponibles sont principalement un cocktail d’opinions et d’approximations contradictoires, ou de messages pouvant être trompeurs. Illustration : lorsque toutes les enquêtes et baromètres les plus solides confirment au fil des années -hors Covid- un taux de départ en vacances des Français au cours d’une année entière qui oscille autour de 60%, on peut s’étonner de la publication de résultats issus d’enquêtes auto-administrées en ligne réalisées en une grosse semaine au mois d’août -auprès d’internautes indemnisés- qui mentionnent un taux de départ en vacances cet été à 67%… La réalisation d’une enquête flash de ce type ne remplacera jamais des dispositifs d’enquêtes permanentes au long cours tel que le dispositif du Suivi de la Demande Touristique, qui exige il est vrai, des délais plus longs pour obtenir une information bien plus fiable et plus fine. Lorsque deux mois plus tard, l’INSEE livre la statistique la plus solide sur la fréquentation des hébergements collectifs pour l’été (délais logiques pour un traitement statistique garant de robustesse), ces résultats passent sous les écrans radars des médias. En résumé, pour disposer de données fiables, il faut généralement être patient et vigilant sur l’origine de la source, s’interroger sur la motivation du commanditaire, et la rigueur de la méthode utilisée.

VA/ Quid des projets d’observatoire ? Utilisez-vous celui d’Atout France ? D’autres études ?

Atout France a lancé France Tourisme Observation qui se présente comme un data hub pour la filière touristique, un projet ambitieux mené en collaboration avec plusieurs partenaires, et dont certaines composantes semblent plutôt convaincantes (baromètre de l’hôtellerie de plein air, …). D’autres s’annoncent particulièrement prometteuses sur le papier (mémento dynamique, …).  Le suspense sur un tableau de bord du tourisme durable devrait être levé prochainement, en espérant que la dimension sociale du développement durable ne soit pas occultée, et qu’une approche nationale permette d’éclairer les décideurs sur les grands enjeux de politiques publiques. Plusieurs régions réalisent des travaux exemplaires sur le terrain de l’observation et des études, chacune selon ses méthodes et ses priorités. L’industrie hôtelière de son côté bénéficie des travaux de plusieurs grands cabinets concurrents qui produisent sur ce segment de l’offre touristique, des indicateurs et des analyses très précieux.  Quelques marques s’offrent parfois des études de qualité pour orchestrer leur communication, livrant des données assez fines sur un fragment précis de l’économie touristique. Les enquêtes privées à vocation stratégique sont rarement publiées.  Il faut admettre que nombre de données utiles aux uns (un territoire par exemple) ne sont pas les mêmes que celles utiles aux autres (un hébergeur par exemple), et qu’une analyse nationale ne saurait être la somme d’observations régionales selon des approches différentes. C’est l’un des pièges des agrégateurs de datas…

VA/ Une dernière chose, un dernier chiffre pour nous surprendre ?

Naturellement. Si nous n’engageons aucune action préventive, il est vraisemblable que la France risque prochainement de dépasser le nombre de 100 millions de visiteurs étrangers, naturellement, par le seul fait de la progression quasi-automatique du nombre de voyageurs internationaux notamment long-courriers. On entendra résonner les sirènes de la victoire, alors que cette donnée n’a absolument aucun intérêt pour l’économie touristique et s’avère même désolante pour le climat ou pour les habitants d’une poignée de territoires spots de visites à selfies. Nombre de professionnels s’accordent, dans les coulisses des congrès, à déplorer cette cible des 100 millions de touristes étrangers, et préfèreraient assez naturellement que nous ayons le regard vissé sur la durée de séjour des voyageurs étrangers et donc sur un total de nuitées, les modes de transport utilisés, ou bien sur l’amélioration du taux de départ des Français, afin d’atteindre 80% de Français qui accèdent à des vacances, éventuellement en découvrant les secrets remarquables de leur propre région. Ainsi, la statistique permet d’interroger les politiques publiques, les investisseurs privés, sur leurs objectifs chiffrés autour d’indicateurs qui reflètent leurs ambitions. Ceux-ci doivent permettre de consolider et développer une activité touristique dont les impacts peuvent apporter le pire comme le meilleur. Le choix des bons indicateurs est donc hautement stratégique. Au regard de ces données claires, il est urgent d’imaginer une politique touristique (et ferroviaire) qui revisite en profondeur le modèle de développement du tourisme en France, pour améliorer la valeur ajoutée économique et sociale, et minorer l’impact environnemental.


[1] Membre de Futuribles International, auteur de https://www.futuribles.com/le-tourisme-post-covid-19-perspectives-a-lhorizon/ publié en mai 2020

[2] Institut de Recherche et d’Etudes Supérieures du Tourisme

[3] Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie)

[4] Le format « Secten » (SECTeurs économiques et ENergie) a été développé afin de disposer de séries mettant en évidence les contributions des différents secteurs d’activités économiques. Il reprend les résultats des émissions d’inventaires déclarés à la CEE-NU (Commission Economique pour l’Europe des Nations Unies) pour les polluants atmosphériques et à la CCNUCC (Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques) pour les gaz à effet de serre, qu’il agrège différemment.

(*) Par exemple le cas, évoqué par l’INSEE sur son blog, d’une nuitée hôtelière avec petit déjeuner. Le prix final acquitté par le touriste sert notamment à payer les aliments du repas matinal, mais aussi le ménage, l’énergie, le chauffage… Autant de consommations dites intermédiaires qui ne créent pas directement de richesses !

(**) Par exemple l’objet souvenir made in « Ailleurs » acheté en France par un visiteur étranger. Ne comptera dans la valeur ajoutée du tourisme que la différence entre le prix de vente du produit et son prix d’importation !


Rencontre avec Jean Michel Blanc, l’homme qui taquinait les chiffres ! | ©VOYAGEONS AUTREMENT
Par Geneviève Clastres
Auteur et journaliste indépendante spécialisée sur le tourisme durable et le monde chinois, Geneviève Clastres est également interprète et représentante de l'artiste chinois Li Kunwu. Collaborations régulières : Radio France, Voyageons-Autrement.com, Monde Diplomatique, Guide vert Michelin, TV5Monde, etc. Dernier ouvrage "Dix ans de tourisme durable". Conférences et cours réguliers sur le tourisme durable pour de nombreuses universités et écoles.
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